speciale dedicace a la France et au lycee Desclaude

Carolina Marion et Cécile envoient des gros bisous à tout le monde car nous manquons de temps pour des messages perso depuis nos boites mails

(on ne sait pas mettre les accents sur les claviers americains, desolees)

Journée du 12 février

TITRE : A dónde se va ésto ? (où s’en va ce truc ?)

Le matin :

6h30 : départ pour l’aventure vers Ibarra. Je fête mes 20 ans et je me prépare à passer une journée mémorable.

Nous arrivons donc en bus à 7h10 : comme nous n’avons pas eu le temps de prendre un petit déjeuner avant de partir nous nous arrêtons dans une petite épicerie. C’est la première fois que je prenais un petit déjeuner aussi bon et aussi copieux, pour aussi peu cher (moins de 1 dollar).

8h30 : nous nous dirigeons vers la gare pour nous renseigner et prendre nos places pour l’autoferro. Après 20 minutes d’attente environ nous voyons arriver sur les rails un drôle d’engin avec un wagon ressemblant plus à un bus qu’à un véritable train. Ayant le choix entre voyager à l’intérieur ou sur le train, nous prenons tous l’option « sensations fortes garanties ». Une fois tous montés sur le wagon une long attente débute, 25 minutes interminables sous le soleil de l’équateur et tous entassés les uns contre les autres.
Soudain on entend un bruit semblable à celui des bateaux annonçant leur départ.
Nous voilà donc partis pour 3h de voyage intense.
Dés le départ le conducteur annonce la couleur en descendant à toute vitesse les montagnes environnantes (frissons assurés étant donné qu’il n’y a aucune rambarde de sécurité et que le wagon tangue de plus en plus). Puis au bout de 10-15 minutes la vitesse du train diminue tout comme les palpitations de notre coeur. Mais ceci ne dure pas car le train s’arrête juste devant un pont. Vous êtes sûrement en train de vous dire qu’il n’y a pas de quoi s’inquiéter, et bien si car ce pont est en bois, suspendu à 20 m du sol et que tous le monde se demande si il va tenir.
Et comme si ça ne suffisait pas, on voit descendre le chauffeur du wagon pour examiner le pont (il marche sur celui ci d’un pas trop hésitant à notre goût). Puis il remonte dans le train et nous voila partis pas vraiment confiants.
Une fois cet obstacle franchi la traversée s’est déroulée très paisiblement pour profiter d’un paysage que tout le monde a qualifié de splendide : forêts et montagnes à perte de vue, cascades d’eau, cultures de cannes à sucre gigantesques, cactus de toutes les tailles et de toutes les formes.
Les points fort de se voyage ont été : les grandes accélérations au départ, la traversé du pont, mais surtout l’exploit de Patate (Valérian) qui après une drague acharnée à réussit à séduire le groupe de jeunes équatoriennes en voyage vers la colombie qui se trouvaient autour de lui (moi je dis CHAPEAU PATATE).
Arrivé au bout du parcours il a fallu retourner le wagon ; c’est avec un système de rails disposées en cercle et bien sûr la force inégalable de notre groupe que nous avons réussi à retourner le train dans le bon sens.
Après avoir gravi quelques sommets sur le chemin du retour nous sommes descendu en plein milieu du trajet pour prendre le bus en direction d’Ibarra.

Sept des élèves ne sont pas venus vivre le grand frisson … la suite au prochain numéro

Programme de l’après midi à suivre également

Vincent Allary

speciale dedicace a Bougon

Bon anniversaire à mon cap’tain préféré. Signé ton moussaillon

L’art doit rester libre, c’est pourquoi les professeurs n’ont en aucune manière modifié les œuvres qui vous sont présentées dans le blog.

La matinée :

Levée 6h00, départ 6h30. Pas de petit déjeuner et au bout d’une heure on avait déjà faim.
Arrivée au marché d’Otavalo à 7h45 puis certaines personnes ont voulu téléphoner en France . Vers 8h30 on a commencé à chercher où était le marché puis au bout d’une petite demi-heure on est tombé dessus. Il était gigantesque et il y avait de tout : t-shirts de l’Equateur, des ponchos, musique, des sacs faits à la main, …etc.
Il y avait beaucoup d’objets très jolis tel que des colliers, des bijoux, des bracelets. Nous nous enfoncions dans la jungle d’autochtones et nous sentions toute la beauté du marché équatorien. Des personnes proclamaient la qualité de leurs produits et la musique résonnait de toutes parts. C’était beau !
Le lieu de rendez-vous fixé était de se retrouver à La Poste à midi. Tout le monde était là à l’heure. On avait déjà mangé pour la plus part nos sandwiches dans la matinée et nos ventres gargouillaient de plus belles !!! (Les profs nous avaient pourtant bien précisé qu’il fallait s’acheter de quoi déjeuner)


L’après-midi: Peguche
Nous nous rendîmes au village de Peguche où nous attendait une magnifique cascade. Malheureusement la faim nous tiraillait (Les profs nous avaient aussi précisé qu’il faudrait sûrement compléter le pique nique si besoin) et on n’a pas pu prendre beaucoup de plaisir à a contempler. Pendant que certaines personnes firent la « marche touristique » pour accéder à la cascade et revenir au village, d’autres se prélassaient sur l’herbe au plus grand bonheur des chiens qui venaient chercher quelques caresses et surtout quelques bouts de gâteaux. Sur les coups de 15H30, on décidâmes de redescendre à Ibarra (car il fallait soigner Fabien qui avait attraper une amygdalite) et nous en profitons pour manger. Enfin un bon dîner !!! Il était tout de même 16h30 lorsque l’on dînâmes. On engloutit tout en un rien de temps , puis on se rejoignit à 17h30 à l’arrêt de bus. Enfin, on arriva à Chota où nous logons vers 18h30.

Valérien Lamoureux


Vendredi 10 février

PROGRAMME DE LA MATINEE


Groupe 1 de Chalguayacu

- Après un petit déjeuner copieux, nous somme partis en direction de la petite ville Juncal situé au nord de Chota.
- Nous avons pu voir les systèmes d’irrigation et prendre des mesures de débits du canal d’irrigation.
- Ensuite nous avons fait une grande ballade dans la montagne ou nous avons pu goûter les fruits locaux.
- Nous sommes finalement rentré sur les coups des 13h légèrement attaqués par le soleil



Groupe 2 de Juncal

- Après le même petit déjeuner que le premier groupe, nous nous sommes entassés dans le bus en direction de Juncal où Julio (ancien directeur de la Junta del Agua) nous attendait
- Julio nous a fait rencontrer l’aguaterro chargé de l’alimentation en eau potable de la ville, qui nous a fait visiter la station de traitement de l’eau potable.
- Par la suite, l’aguaterro nous a fait une démonstration édifiante de son travail en réparant avec les moyens du bord (c’est le cas de le dire !!!), une canalisation d’alimentation en eau potable du village
- L’aguaterro et Julio nous on fait visiter la station d’adduction en eau potable qui alimente à la fois Juncal et Chalguayacu (on a constaté des aberrations dont on se servira pour la synthèse : il laissent perdre l’eau lors qu’elle a été traitée !!!!!!!!!!!)
- Nous avons terminé cette matinée par une petite marche sur un sentier escarpé le long de la rivière ; après avoir traversés un sombre tunnel dans la montagne, l’aguaterro nous a finalement montré la prise d’eau du plus important canal d’irrigation de la zone. Au milieu de paysage magnifique, nous avons pu observer quelques grosses truites qui feront objet d’un barbecue dimanche prochain (si la réussite est au rendez-vous…)
- Nous sommes arrivés chez Eva sur le coup des 13h30 pour une pose déjeuner bien méritée (pour changer une soupe et du riz…)


PROGRAMME DE L’APRES- MIDI

Le Groupe 1 de Chalguayacu

- Le groupe 1 du matin est aller voir la même station d’adduction d’eau potable que le groupe 2 avait vu le matin.
- Nous avons été voir le Château d’eau de la ville
- Nous sommes finalement rentrés en pick up décoiffant sur les coups des 7h après avoir manqué le dernier bus…




Le Groupe 2 : Juncal
- Nous avons rejoint Julio sur le coup des 15h à Juncal. Ce dernier nous a fait faire un tour sur les parcelles irriguées de la commune en nous expliquant l’absence totale de gestion de l’eau sur celles-ci.
- Sur ces parcelles, nous avons pu voir que les techniques culturales étaient bien éloignées de celles pratiquées en France. En effet, nous avons pu constater que les champs étaient encore labourés avec une charrue tirée par un cheval !!!!!!!!!!!! et oui et oui et oui ;
- Le dernier bus était à 17h30, malheureusement un dernier coup de téléphone pour déterminer le programme de semaine prochaine nous a obligé à rentrer en pick-up.
- Une petite dédicace aux Poulardes de la chambre 123 : « On est aussi rouge que toi Sandra par contre on a moins froid, on pense à vous gros bisous, les G2 !! »


Steph et jéjé




Jeudi 9 février

PROGRAMME DE LA MATINEE

Le groupe de Carpuela

- Petit déjeuner à 7h30, une omelette à l’oignon nous attendait avec un verre de jus de fruit, une boisson chaude et de la brioche
- Départ un peu tardif en bus pour Carpuela, une petite ville de 2800 habitants située à 1600 mètres d’altitude
- Rencontre avec le responsable de la station d’adduction d’eau potable où Joujou nous a fait part de ses talents de GSEA en réalisant des analyses d’eau
- Ensuite, après un petit rafraîchissement, nous avons rencontré le vis président de la Junta del agua qui nous a expliqué tous les problèmes liés à l’eau


Le groupe de Mascarilla

- Nous sommes descendu chez un agriculteur où après avoir mangé quelques bananes nous avons fait des calculs de débits
- Nous avons aussi essayer descendre le long de la rivière afin de trouver la source d’eau potable de la ville de Mascarilla. Cela n’a pas abouti à cause de la jungle de bambous qui était plus forte que nous
- Ensuite Loïg a lamentablement chuté à cause de la rupture de son bâton de marche
- Ballade durant deux bonnes heures le long de la rivière El Angel ; magnifiques paysages, lapins équatoriens, moustiques affamés…
- Nous avons ensuite mesuré le débit d’une prise d’eau d’un canal d’irrigation
- La ballade nous a conduit jusqu'à Mascarilla où nous avons rencontré l’aguaterro d’une coopérative agricole.

PROGRAMME DE L’APRES MIDI

- Tout le monde s’est réunit et est parti à 15h dans les locaux de CIFANE afin d’initialiser le blog et de préparer la restitution du soir
- Par la suite nous nous sommes rendu à Mascarilla en pick-up ou nous nous sommes entretenu avec le directeur de la Junta del agua locale
- Malgré la ténacité des moustiques nous avons appris beaucoup de choses
- La journée s’est terminée par une enquête sur l’eau auprès de la population qui dans l’ensemble est très souriante et très agréable !

Steph, Frodon et Jéjé

Mercredi 8 février

Programme de la matinée


Groupe de San-Vincent

- Déplacement dans le village de San Vicente pour le premier groupe avec la visite de la station d’arrivée d’eau pour les villages de San Vicente et de Chota.
- Passage dans le sentier de la montagne afin d’étudier la faune, la flore et les systèmes d’adduction d’eau concernant l’irrigation avec mesure de vitesse d’écoulement de l’eau dans la section.
- Dimensionnement de la canalisation d’eau concernant l’irrigation.
- Découverte de gabions (escalier de pierres) utilisés contre les affaissements de terrains.
- Entretien avec le gérant des systèmes d’eau sur la commune de San Vicente afin de mieux comprendre le fonctionnement et les problèmes rencontrés pour l’adduction d’eau potable.

Groupe Mascarilla

- Petit déjeuner à 7h45 avec petit pains, jambon, fromage, café et jus de fruits.
- Départ de Chota à 8h10 et arrivée à Mascarilla à 8h15 environ, où l’on a retrouvé Pedro.
- Rencontre avec l’aguatero de l’eau de consommation qui nous a parlé du fonctionnement de la Junta del agua, de la gestion de l’eau de consommation (présentation des acteurs et des différents organismes, prix de l’eau, réseau…)
- 1ère approche des modes de traitement de l’eau et de la consommation
- Nous sommes restés avec Pedro toute la journée et nous avons rencontrés trois agriculteurs.
- Présentation de l’irrigation, des cultures, de l’utilisation de l’eau d’irrigation et des problèmes rencontrés.
- Cela nous permis de goûté plusieurs fruits comme la tuna (fruit du cactus), l’avocat, la mangue, la banane, la gayave.
- Présentation de nombreux végétaux comme le manioc, la canne à sucre, l’aloé vera…


Programme de l’après midi

Groupe de San-Vincent

- Passage le long de la rivière et découverte des canalisations amenant l’eau au village de Chota.
- Visite de la station de traitement d’eau potable du village de Chota et explication du problème rencontré pour le débit (augmentation du diamètre de canalisation récent et pourtant moins d’arrivée d’eau).

Groupe Mascarilla
- On nous a appris les techniques de survie contre les moustiques.
- Mesure des débits sans grand succès sur les différents canaux d’irrigation.
- A 16h20, nous sommes allés voir l’aire de stockage du compost du village.
- A 17h00, temps libre pour tout le monde avant le repas.
- Journée très intéressante sur le terrain avec des intervenants enthousiastes de nous montrer leur culture malgré l’assaut des moustiques.

Jérôme Joulin et Guillaume Grelet
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