lundi 26 fevrier

Dure journée pour le groupe irrigation sur Mascarilla composé de Aryendra et Jérémy. Levés 5h30 afin d’aller avec un agriculteur du village pour suivre son irrigation. Mais là c’est le drame, on ne trouve pas Fabian Mendez et on marche pendant une heure pour rien. La suite de la journée se passe bien malgré les attaques acharnées des moustiques, la difficulté àcomprendre les agriculteurs et l’enfer de repérer les raies d’irrigation dans la canne à sucre qui est très dense… A propos des moustiques, Aryendra a subi de belles attaques, résultat : un pied qui a pratiquement doublé de volume mais heureusement il ne ressent aucune douleur ou presque.

Un autre groupe est parti dans la « jungle », à 8 km du village de Mascarilla, afin de suivre le réseau d’eau de consommation et d’aller jusqu’au captage ainsi que de mesurer les pressions, repérer les fuites… On a pu voir le Charlie des grands jours (Alexandre Vergnaud) avec ses jambes en mousses et son fameux bâton. Il nous a fait 5 magnifiques chutes dont une mémorable qu’il va, je pense, ressentir pendant plusieurs jours. D’après lui la terre s’est dérobée sous ses pieds !

Les autres ont creusé les « gualones » au bord du Chota grâce à la force basque ( pas trop non plus !) et à la grosse mule d’huguy afin de faire des analyses de toutes sortes.

Le quatrième groupe a parcouru tout le village de Mascarilla pour établir un plan avec des relevés GPS des arrivées d’eau aux maisons (travail fastidieux qui sera continué encore 3 jours au moins), pendant que les derniers d’entre nous sont allés à l’école de Chota se rendre compte de l’état de leurs toilettes et visiter l’école pour préparer une intervention avec les enfants !

 

A+

Jérémy

petits messages speciaux

Stéphanie, Pedro te passe lui aussi le bonjour et te remercie pour tes bisous

Aux anciens G2 et groupe équateur de l'an dernier, on pense bien à vous et on en profite du pays pour vous et on se sert bien de votre travail pour les aider !!!! gros bisous

Cécile, Carolina, Marion et tout le groupe

diñanche 25 fevrier

Au programme de la journée, tourisme. Les gentils accompagnateurs nous ont enfin laissés un peu de répit et cela nous a valu une grâce matinée jusqu’à…8h00 (merci le coq). Après une petite réunion à 10h00 (pour ceux qui étaient là) nous avons décidé d’aller se balader du côté de Pimampiro et des eaux cristallines du rio Matachi. Une grande journée s’annonçait pour les pêcheurs du groupe. Après une défaillance de la machine à laver de Max nous partîmes enfin à 11h30.

Arrivée sur les lieux, le marché battait son plein. Une fois un bout de poulet engamé, un tout petit pick up (pour 19 ) nous amena au bord de la rivière (hein bintou). Les pêcheurs n’auront hélas pas pu étaler tout leur art faute de poisson. Et là c’est le drame : toute la compagnie fut témoin d’un terrible accident mettant en cause Morgane M, Amélie et …un cactus. Nous rassurons les familles, les 2 blessées sont entre les mains du meilleur chirurgien du village, le susnommé Salomon Acosta et elle se sont débarrassées de toutes ses horribles épines !.

Après tant de péripéties nous sommes rentrés à Mascarilla pour un repos bien mérité.

Crok.

samedi 24 fevrier

Nous sommes partis à OTAVALO qui est un marché Indien très connu en Equateur.

Au sein de ce marché le marchandage est le maître, mais les vendeurs sont moins oppressants qu’en Afrique. On y trouve moult choses passant de la pipe (dédicace Tapir) au poulet rôti. Les gens y sont tous très petits (comme Joujou « le prend pas mal ») mais ils fument beaucoup moins.

Petite bataille pour se retrouver, mais grâce à Charles et son chapeau de colon on se retrouve et on part pour la gare routière.

Arrivée à IBARRA, nous déjeunons dans la gare routière accompagné d’un fond musical fort agréable (n’est-ce pas Amélie !) conclu par une pause caca ( 10 cent ; faut les rentabiliser ... !)

Nous partons pour TAPIAPAMBA en camion (village de la vallée complètement isolé que la Condamine voulait que nous allions visiter dans le cadre de notre travail ici) , voyage fort périlleux selon certaines. Après quelques détours, nous arrivons enfin au village où nous retrouvons le directeur de l’école de la Contamine ( petit rdv).

Après la visite de la station de « potabilisation » nous rentrons à MASCARILLA.

Nous finissons la journée par une soirée entre amis ( nous et le…)

A+

 

Ary

vendredi 23 fevrier

Résumé de la journée du vendredi 23 février

 

C'est la première réelle journée où les projet vont commencé.

Le matin nous sommes tous allés à Chota pour rencontrer José CHALA de CIFANE. Nous lui avons présenté tous nos projets et écouté les remarques qu'il a formulé sur ces projets. Dans l'ensemble, il n'en a réfuté aucun. Par contre, il a fait des remarques sur les projet des toilettes sèches pour l'école de Chota et pour le projet de pompage sur Chalguayacu-Juncal. José CHALA nous a également demandé de venir l'après midi avec lui à Chalguyacu-Juncal pour voir les zones à irriguer grâce au pompage.

Nous rentrons en pic-up déjeuné à Mascarilla. Au menu : Soupe de pomme de terre, riz banane fris, thon à l'oignon et à la tomate macéré dans du jus de citron.

Nous nous répartissons en trois groupes pour l'après midi : un va installer les tensiomètres et repérer les cultures sur le périmètre d'étude de Mascarilla, un autre part pour Juncal-Chalguyacu et un dernier pour Chota pour commencer à creusé des « gualones ».

 

Le groupe, qui est resté à Mascarilla, a déterminer les cultures sur chaque parcelle et implanter les tensiomètres avec l'aide de Pédro. Canne à sucre, avocat, cactus, piment, banane, mangue, goyave, papaye et fourrage se partage le périmètre irrigué. Les tensiomètres serons installés dans les cactus (Figuier de Barbarie), les bananes, canne a sucre et les « Yuca » (manioc). Ils ont profité de se balader dans les parcelles pour déguster des fruits. La guerre a été déclaré entre nous et les moucherons qui nous ont littéralement « bouffé ». Tapir et Harry ont été les plus bouffé.

 

Le groupe, qui est allé à Juncal, a pu voir de nombreux périmètres qui étaient déjà plantés en figue de barbarie. Nous sommes monté en pic-up à flan de colline. La voiture passait à quelques centimètres du précipice, sur une piste creusée à flan de montagne en pleine poussière !! Par moment il fallait même descendre du pic up pour qu’il puisse avancer ! Que de frayeur !! On nous emmène sur les terres les plus hautes plantées en cactus et qu ils souhaitent irriguer : nous leur avons expliqué qu’ il est pour l’instant impossible d ‘emmener l’eau jusque la haut ! il snous ont alors emmené danS des parcelles un peu plus basses : le site semble mieux convenir pour notre projet de mise en place d’une pompe dans le but de faire monter l’eau au dessus du canal d’irrigation.

En rentrant a mascarilla nous avons pu obtenir les besoins en eau de la tuna grâce au docs obtenus par d’autres : les études pour la mise en place dece projet pourront donc commencer ! Finalement, nous avons retrouvé les autres pour diner.

 

Alexandre

jeudi apres midi

Nous sommes allés prendre un dernier déjeuner avant de partir vivre l’aventure dans la vallée du Chota !!!

Les petits gâteaux étaient excellents, avec morgane on a même demandé la recette qu’on a fini par avoir en espagnol, il faudra la tester et on vous propose d’être nos invités.

Après avoir dit au revoir à nos trois lamas nous sommes partis prendre le trole dans une ambiance de folie.

Arrivés à l’hôtel, juste le temps de prendre nos énormes et lourds sacs et vamo nos tomar el bus para el valle del Chota !!!!

2km à pied sous la chaleur écrasante ( écrasés aussi par nos sacs) on a dut prendre le trole puis le bus pour 4heures. Les paysages étaient tous simplement magnifiques, on vous réserve la surprise dès notre retour ( mais tous le monde n’en a pas profité, certains ne comprenant aucun mot d’espagnol ont quand même préféré regarder les films, et le basque préfère faire la sieste !!!) D’ailleurs les films nous cassaient les oreilles mais cela nous a pas empêchés d’être de véritablespaparazzis du paysage comme quoi on peutmieux faire que les japonais.

Arrivé à Mascarilla , on a été accueillicomme des rois. Quel bonheur !!!!!!

Chacun notre tour avons découvert notre casa. Mi casa es tu casa !!

On est chez Salomon le plus blagueur de tous et aussi le plus bavard : Bref il est très bon élève en français et il nous correspond !!! On a testé les escaliers pour nains avec nos gros sacs , en bref, les pompes dans les escaliers avec 25 kg c’est dur !!!!

J’ai eu un super matelas en paille Mickey mouse avec tous ses amis …..

On a par la suite mangé de la soupe d’avoine et du riz accompagné de tomates et de bananes caramélisées .

Une petite réunion avec les villageois a été organisée pour faire le bilan de nos actions….Max a bien bavardé avec Walter (le donneur de Mangues) .

Après nous sommes allées prendre une douche bassine ( pas d’eau courante !!!)

Buenas noches y Hasta mañana !!!

 

Amélie

 

Nb : je fais pleins de gros bisous a tous les toulousains et au hauts savoyards. Je t’aime mon ptit cœur. Morgane envoie plein de gros bisous à sa famille.

 

mercredi 21 février 2007

La journée a débutée par un délicieux petit déjeuner (jus de fruits maison, croissants chauds avec confiture maison, et cafe con leche ou thé).
On est parti pour le lycée vers 9h en Trole (un bus qui accélère et ralenti assez brusquement et comme on est debout c'est très casse goule mais très marrant). Il y avait un magnifique soleil et une température plus estivale que la veille (ca nous a mis de bonne humeur).
On est arrivé vers 10 heures (et la première chose que l'on a vu c'est une tour Effel de 3 mètres bleu blanc rouge et des lamas). Nous avons rejoint les personnes de CIFANE pour une petite réunion (les parents d'élèves devaient nous rejoindre mais a priori ici ce n'est pas le 1/4 d'heure charentais mais l'heure équatorienne...).
On a présenté nos projet et a priori tout a plus a CIFANE (heureusement que Carolina était là pour traduire bien qu'elle se soit parfois trompé de destinataire).
On a mangé copieux au lycée (c'est à priori difficile de trouver un verre d'eau dans ce pays).
L'après midi on nous a montré une station météorologique au ministère des ressources hydriques.
Puis nous sommes allés boire un coup en ville et nous avons été filmés par la télé et carolina a eu le droit à une interview.
Apres un nouveau tour en bus où amelie n'etait pas loin de tomber par terre.
On a cherché un endroit où manger (c'est pas évident  il ferme tous à 17h) finalement on a mangé au même endroit que la veille (on a fait un concours d'avalage de sauce pimente avec hugues mais finalement je sais pas qui a gagné...)
hasta luegos
des bisous à papa, maman, arthur, amandine, gabriel et le reste de la famille...
morgane m. 

Jeudi 22 Février (le matin)

Buenos dias,
Une nouvelle journée commence sous le soleil de Quito
Au programme : un bon p'tit déjeuner rempli de bonnes choses (confiture de goyave pour calmer nos brulures d'estomac !!!! et un jus de tomate des arbres)
Tous ce qu'il faut pour attaquer une journée dans la bonne humeur !!!!
On profite du trajet en trole pour muscler nos bras avant d'arriver au lycée de la Condamine
 (pour prendre le bus vaut mieux avoir une bonne condition physique car la conduite est toujours très sportive) 
Plusieurs groupes travaillent sur les analyses d'eau (visite du laboratoire), d'autres vous donnent de leurs nouvelles et enfin détermination du planning pour le séjour.
Les 3 Lamas sont toujours aussi sociables pour le plaisir des photographes !!!!
Il est 11:30, nous allons manger avant de partir pour la vallée du Chota où les familles nous y attendent !!!!!!!!!!!!

On précisera que nos accompagnateurs ont bien été choisi et on a bien fait de les emmener !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
On vous envoie plein de bisous équatoriens
Hasta Luego

mardi 20 fevrier

A 19h30, on est arrivé à l’aéroport d’Amsterdam : il est tout simplement gigantesque. Tout le monde parle en anglais, mais bon on se débrouille comme on peut ! On est enfin prêt à embarquer dans un avion de 400 places ! Ça change du petit avion Bordeaux Amsterdam ! Avant le décollage, les règles de sécurité à bord de l’avion ont été enregistrées sur une vidéo (pour ma part, je préfère la « danse » de l’hôtesse de l’avion Bordeaux Amsterdam ! C’est plus marrant à regarder !). Le décollage commence, on aperçoit sur les écrans toutes les données concernant la température à l’extérieur, l’altitude, la vitesse de l’avion, la distance parcourue et à parcourir, et l’estimation de la durée du vol. La poussée de cet avion est impressionnante ! Au décollage, on est autour des 400 km/h ! Quelques petites heures d’alternance sommeil/réveil/tête dans le pâté !!!, on fait une escale à Bonnaire. On est autorisé à se dégourdir les jambes dans la zone de transit. Quelle bouffée de chaleur à la sortie de l’avion !!!

Il fait à peu près 27°C à l’exterieur en pleine nuit .

Cette deñi heure passe on est parti en direction de Guayaquil, où on reste environ 1h pour faire le plein 8 et oui le pétrole est moins cher en équateur pays producteur). On repart de nouveau avec un nouvel équipage et de nouveaux passagers. Les pilotes ont été remplacé car il faut, parait il, un permis spécial pour atterrir à Quito, et pour cause ( il faut passer entre les montagnes et les immeubles).

Arrivé à Quito on apercoit la ville qui s’étale sur 30 km, coincée entre les montagnes et le volcan « Pichincha » qui culmine a 4800m d’altitude. Malgrès le temps brumeux on est tous content d’être arrivé à destination, enfin.

On est accueilli à l’aéroport par le proviseur de la « Condamine », c’est le lycée franco-équatorien, ainsi que par la famille de Carolina ( professeur d’espagnol). Vers 10h , on se dirige en bus vers la résidence « Marsella ».

Le temps de prendre une douche, de s’installer il est déjà midi et il faut bien manger. On va en ville dans un resto, le « Pedro y Pablo » qui a l’air touristique à souhait. La, on goute au «  Cambo » ( riz, lentilles, bananes frites et viande, poisson ou poulet), servi avec une sauce épicée.

Ensuite on part decouvrir la ville de Quito, on y remarque l’omnipresence des policiers, le bruit et la pollution des bus, taxi et autres voitures ( presque toutes des chevrolets, meme les opel corsa deviennent des chevrolet corsa), qui ne sont pas tous immatriculers.

Des pots d’échappement presque tous débridés s’échappent une fumée noire et épaisse.

Les gens sont vraiment de petites tailles ( environ 1,50 m) .

On est allé visiter une église vraiment sublime, ornée de part et d’autres de feuilles d’or, on peut dire merci aux Incas. Puis l’église et le couvent de San Francisco, et enfin le marche indien de Quito. On s’est fait attaquer à l’occasion par … des enfants armes de… bonbonnes de mousses (et oui on y échappe pas a Quito pour le mardi gras).

gros bisous à mes parents, ma famille et à ma cherie d'amour!
max r.

On est bien arrivé a Quito !

  • Départ de Saintes à 8h15
  • Arrivée à 9h45 à Bordeaux
  • Départ de Bordeaux à 15h40
  • Arrivée a Ámsterdam 2h plus tard (avion très bruyant)
  • Départ pour Quito 23h30

 

Conclusion : Aucune perte à signaler…Only is under us control…!!!

Message à venir très prochainement ! à bientot !

France nous voila

Des nouvelles du groupe Equateur, nous sommes bien arrivés après un voyage bien long, tout va bien, il fait beau.
Plus de détails demain sans doute

bisous a tout

les étudiants et les profs

Programme prévisionnel de la première semaine


Mardi 20 février : arrivée à Quito et installation à l'hôtel Marsella puis visite du vieux Quito.
Mercredi : Réunion au lycée La Condamine avec l'IRD, CIFANE et des parents d'élèves.  Echanges et présentation des projets.
Jeudi  : Départ en bus pour la vallée du Chota avec une halte au terminal d'Ibarra. Installation à Mascarilla et première rencontre avec ses habitants.
Vendredi : Prise de contact avec les sites des différents projets (Mascarilla, Chota, Chalguayacu)
Samedi : Marché indien d'Otavalo le matin. Découverte touristique de la région (Cotacachi, Cuicocha, Peguche)
Dimanche : Pourrons-nous prendre l'Autoferro ?


étude de la qualité des eaux de consommation

Sur quelles eaux ?

Nous allons analyser les eaux de consommation humaine à différents points de prélèvements et notamment aux agualonas et chez les particuliers.

Quelles analyses à effectuer ?

Nous allons étudier la qualité physico-chimique ainsi que la qualité bactériologique.
En ce qui concerne la qualité physico-chimique, les critères mesurées seront le pH, la température, et en fonction du matériel présent sur place : la turbidité, les Matières En Suspension (MES), ...
Pour la qualité bactérienne, nous allons dénombrer certaines bactéries dont les coliformes fécaux et totaux, les streptococcus faecalis...

Pourquoi ces analyses ?

Nous contrôlerons la qualité des eaux de consommation pour dénombrer les germes pathogènes. En fonction des résultats obtenus, nous travaillerons avec le groupe "sensibilisation" afin de prévenir d'éventuelles pratiques (notamment de prélever de l'eau dans les agualonas en vue d'une consommation) nuisant à la santé humaine.

L'étude du pompage de CHALGUAYACU

Nous étudierons et tenterons de dimensionner l'installation pour trois systèmes de pompage : le bélier hydraulique, une roue à aube entraînant une pompe à piston et une pompe centrifuge utilisée en turbine entraînant une pompe à piston.
Pour ce faire, il faudra connaître les Précipitions sur la zone, l'Evapo-Transpiration Potentielle(besoin en eau des plantes calculé avec une culture de référence), le coefficient cultural (Kc) de la Tuna (pour connaître les besoins réels en eau). De plus, il faudra déterminer les caractéristiques physiques de l'instalation (Débit, Pression...).
Nous aurons donc besoin d'un GPS, d'une mise de chantier, d'un mètre ruban, d'un décamètre, d'une bouteille d'eau, d'une tarrière, de notices techniques de matériel.
Egalement, il faudrait, pour déterminer la réserve en eau du sol, réaliser un étuvage d'échantillons de sol.
Pour faciliter le travail sur place, nous préparons un dossier d'étude qui sera à compléter seulement par les données que nous récolterons sur place et que nous laisserons au habitants de la vallée.
Alexandre VERGNAUD et Pauline DEMEILLIERS

Besoins en eau des cultures

Un guide en espagnol : ftp://ftp.fao.org/docrep/fao/009/x0490s/x0490s.pdf

Un logiciel : CROPWAT

un peu de biblio sur la tuna

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