jeudi 28 janvier : primero dia de trabajo
Jeudi 28 janvier
Après une première journée de découverte pour tout le monde des différents projets, il était temps aujourd’hui de rentrer dans le vif du sujet. Chaque groupe s’est donc réparti sur les différents sites : Juncal pour le Mirador et les toilettes sèches, Chota pour l’assinissement et Mascarilla pour l’ AEC et le Sabilar.
Loic, Romain et moi-même (le groupe Sabilar) avons fait le tour des parcelles irriguées avec les agriculteurs pour voir ou se trouvaient les vannes déjà existantes. Avec l’aide de quelques agriculteurs nous avons nettoyé la vanne du principal canal. Ensuite nous avons terminé la matinée par reconnaître les lieux de construction des nouvelles vannes. Nous avons pris les mesures, décidé des techniques à adopter pour la construction et nous avons présenté les vannes amovibles que nous avons construites en France aux agriculteurs. L’après midi nous sommes partis à Pimampiro pour acheter du matériel.
Antonin, Emeline et Eric (toilettes sèches) ont quant à eux passé la matinée à aider le groupe du Mirador pour creuser des tranchées pour enterrer les canalisations. En les voyant à midi, je me suis rendu compte que cela n’avait pas été de tout repos sous un soleil de plomb dès le matin… L’après-midi a été plus cool pour eux, ils nous ont accompagnés à Pimampiro pour connaître le prix des matériaux pour la construction des toilettes. Le retour de Pimampiro a été exceptionnel à l’arrière d’une camionnette, les cheveux au vent entourés de paysages extraordinaires.
Renan, Michael et Cécilia (Mirador), aidés par Antonin, Emeline, Eric et quelques agriculteurs ont commencé leur projet par enterrer la canalisation qui propulse l’eau à la Tuna (la figue de barbarie cultivée par les agriculteurs) sur mas o menos 500 mètres. L’après-midi ils ont enterré les tuyaux d’entrée et de sortie de la pompe, du canal à la pompe (quelques petites chutes sans gravité…).
Maëva, Audrey et Vincent (AEC) ont commencé leur enquête auprès de la population sur leur consommation d’eau en débutant chez Anatolia (une amie de Carolina). Ils ont téléphoné au président de la Junta del agua et vérifié l’état des compteurs dans certaines habitations. Ils ont pu constater quelques petits problèmes de pression dans le village (ce qui provoque des coupures d’eau). Durant cette première journée ils ont voulu visiter le chlorateur mais petit problème le cadena est bloqué donc il faudra revenir …
Adrian, Damien et Yohann se sont rendu à l’école de Chota, ils ont pu rencontrer la directrice, le professeur et Jesus (!!!). Ils ont présenté leur projet de collecte des eaux usées de la cuisine et des toilettes de l’école. Cette présentation a été positive puisqu’ils étaient emballés par ce projet ambitieux. L’après-midi, ils ont pris des mesures pour l’installation de la nouvelle fosse septique de l’école et Jesus les a aidés avec sa pelle mécanique, il a littéralement déforesté la cour de l’école…
Cette première journée de travail a été harassante pour certains mais très enrichissante pour tout le monde. Je m’excuse si on retrouve les mêmes informations dans ce résumé et dans les autres, je commence à vraiment mélanger les jours…
Peties anectodes : Yohann s’est assis sur un cactus, je vous laisse imaginer le résultat et les lunettes d’Adrien ont élu domicile dans la fosse de l’école…
Pierre… un ptit bonjour aux bretons sous la neige
Après une première journée de découverte pour tout le monde des différents projets, il était temps aujourd’hui de rentrer dans le vif du sujet. Chaque groupe s’est donc réparti sur les différents sites : Juncal pour le Mirador et les toilettes sèches, Chota pour l’assinissement et Mascarilla pour l’ AEC et le Sabilar.
Loic, Romain et moi-même (le groupe Sabilar) avons fait le tour des parcelles irriguées avec les agriculteurs pour voir ou se trouvaient les vannes déjà existantes. Avec l’aide de quelques agriculteurs nous avons nettoyé la vanne du principal canal. Ensuite nous avons terminé la matinée par reconnaître les lieux de construction des nouvelles vannes. Nous avons pris les mesures, décidé des techniques à adopter pour la construction et nous avons présenté les vannes amovibles que nous avons construites en France aux agriculteurs. L’après midi nous sommes partis à Pimampiro pour acheter du matériel.
Antonin, Emeline et Eric (toilettes sèches) ont quant à eux passé la matinée à aider le groupe du Mirador pour creuser des tranchées pour enterrer les canalisations. En les voyant à midi, je me suis rendu compte que cela n’avait pas été de tout repos sous un soleil de plomb dès le matin… L’après-midi a été plus cool pour eux, ils nous ont accompagnés à Pimampiro pour connaître le prix des matériaux pour la construction des toilettes. Le retour de Pimampiro a été exceptionnel à l’arrière d’une camionnette, les cheveux au vent entourés de paysages extraordinaires.
Renan, Michael et Cécilia (Mirador), aidés par Antonin, Emeline, Eric et quelques agriculteurs ont commencé leur projet par enterrer la canalisation qui propulse l’eau à la Tuna (la figue de barbarie cultivée par les agriculteurs) sur mas o menos 500 mètres. L’après-midi ils ont enterré les tuyaux d’entrée et de sortie de la pompe, du canal à la pompe (quelques petites chutes sans gravité…).
Maëva, Audrey et Vincent (AEC) ont commencé leur enquête auprès de la population sur leur consommation d’eau en débutant chez Anatolia (une amie de Carolina). Ils ont téléphoné au président de la Junta del agua et vérifié l’état des compteurs dans certaines habitations. Ils ont pu constater quelques petits problèmes de pression dans le village (ce qui provoque des coupures d’eau). Durant cette première journée ils ont voulu visiter le chlorateur mais petit problème le cadena est bloqué donc il faudra revenir …
Adrian, Damien et Yohann se sont rendu à l’école de Chota, ils ont pu rencontrer la directrice, le professeur et Jesus (!!!). Ils ont présenté leur projet de collecte des eaux usées de la cuisine et des toilettes de l’école. Cette présentation a été positive puisqu’ils étaient emballés par ce projet ambitieux. L’après-midi, ils ont pris des mesures pour l’installation de la nouvelle fosse septique de l’école et Jesus les a aidés avec sa pelle mécanique, il a littéralement déforesté la cour de l’école…
Cette première journée de travail a été harassante pour certains mais très enrichissante pour tout le monde. Je m’excuse si on retrouve les mêmes informations dans ce résumé et dans les autres, je commence à vraiment mélanger les jours…
Peties anectodes : Yohann s’est assis sur un cactus, je vous laisse imaginer le résultat et les lunettes d’Adrien ont élu domicile dans la fosse de l’école…
Pierre… un ptit bonjour aux bretons sous la neige
mercredi 27 janvier
Après cette agréable soirée passée en compagnie de Felipe, deux possibilités se sont offertes au groupe :
Soit pour les plus courageux, accompagner Felipe à son travail et visiter une entreprise de production de roses (ce qu’ont fait Romain et Pierre), ou bien pour les autres (les feignants), un réveil plus tardif vers 7 heures pour ensuite rejoindre Felipe à son magasin dans « un momentito » (pire que le quart d’heure charentais).
Mais l’attente a été longue ...
Ce fut donc une matinée tranquille dans la maison de Felipe.
Enfin le moment de rejoindre Romain et Pierre est arrivé pour ensuite partir en direction de Juncal pour prendre place dans nos « appartements ».
Pour cela environs 2 heures de pick-up nous ont attendus.
Bien accrochés dans la caisse du pick-up(sauf Cécilia que l’on a failli perdre, pour une fois que ce n’est pas Yohann qui essaye de se faire remarquer), nous avons pris du paysage plein les yeux.
Arrivés à Juncal, nos famille nous ont accueillis et nous ont logés dans nos chambres plus ou moins fréquentées par les cafards.
Pour finir la journée, chaque groupe est allé sur les lieux de ses projets pour ainsi préparer les « dures » journées de travail qui nous attendent.
Adrien
mardi 26 janvier
Jour 3, soit le mardi 26 janvier :
Réveil à 7h30 (heure locale), « ça fait du bien après une longue journée passée entre les vols d’avions et les visites dans et à l’extérieur de Quito.
Petit déjeuner dans le restaurant situé en face de l’hôtel (café ou thé accompagné d’un pain brioché muni de beurre doux et de confiture dont on ne saura jamais la provenance du fruit pris pour la préparer).
Après le petit déjeuner, rangement des chambres, des sacs et derniers préparatifs pour le trajet en direction de Cayambe (lieu où se trouve le magasin de Felipe). En chemin nous passons par un magasin électronique pour acheter le cadeau de Felipe en remerciement des 5 années passées à nous aider pour les différents projets en Equateur.
Certains en profitent pour passer par un cybercafé histoire de donner quelques nouvelles à leurs proches. (1 heure d’internet = 1$ et 1 appel pour l’international = 0.12$/min). La vie n’est pas très chère ce qui allège nos portes monnaie . Au final et après longue délibération, le groupe a opté pour un ordinateur portable 10’ + un appareil photo numérique en prime.
Nouveau départ mais cette fois pour un autre village Calderón, situé à 14 km au Nord de Quito. Le village est réputé pour ses figurines faites à base de masapán (figurines qui sont en pâtes à sel en réalité). Fabriquées à l'origine pour mettre sur les tombes afin que les morts puissent en manger, elles se sont répandues pour être présentes à noël.
Tout en se dirigeant vers Calderón, nous passons au siège de PLASTIGAMA pour voir si le groupe AEC et Fosse septique ont une chance de trouver une solution pour leurs projets dans la vallée. Malheureusement la fosse la plus grande qui a été proposée ne satisfaisait pas la demande du groupe.
Re-départ pour Calderón où nous visitons une fabrique de figurines, puis petite balade de 20 min dans une partie de la ville (marché avec ses nombreux étals remplis de fruits et légumes, et magasins).
Enfin le repas, pris en face de la fabrique où nous mangeons des mets locaux (soupe à l’avocat, bouc avec patates salade, riz et banane, accompagné d’une boisson fraîche à base de fruit local). Après ce bon repas, nous nous rendons sur Cayambe rendre visite à Felipe qui nous a invités à dormir chez lui. Là-bas on est reçu par le frère de Felipe, et on se rend au magasin de Felipe.
Un groupe part chercher des bizcochos (biscuit local à base de saindoux et de farine) puis balade dans Cayambe avec prise de photos. Nous partons pour la maison de Felipe en bus (nous sommes invités à dormir chez lui).
Bien reçus nous participons à la préparation du repas (galettes de céréales faites à la main et épluchage des oignons). Nous passons un très bon repas avec du riz, des haricots rouges, du thon mélangé avec de la tomate et des oignons. Après ce bon festin nous offrons les cadeaux à Felipe qui ne sait comment nous remercier. Pour ça, nous passons la soirée dans la cour de sa maison au bord d’un feu avec essai des instruments locaux, puis danse locale. On voit bien que la musique n’est pas innée pour certaines personnes… Suite et fin de la journée en passant une bonne, grande et grosse nuit de sommeil.
Eric D. Bises à tous et particulièrement à la famille et à ma copine…
Dimanche 24 janvier et lundi 25 janvier : "Hola todo el mundo"
Dimanche 24 Janvier
Départ pour l’Ecuador !
C’est parti pour 3 semaines en Amérique du Sud, 3 semaines que l’on a longuement préparées !
Cette journée fut essentiellement consacrée au voyage (Bus et Avion).
Le vol Bordeaux-Amsterdam se déroula pour le mieux.
L’appréhension était présente chez certains d’entre nous car ce fut leur baptême de l’air.
Après un décollage assez crispant ainsi qu’un atterrissage mettant à rude épreuve les oreilles les deux heures de vol se déroulèrent dans la plus grande tranquillité à bord de cette compagnie néerlandaise avec comme surprise de la neige.
Arrivé à 16 h à l’aéroport d’Amsterdam nous nous devions d’attendre jusqu’à 23h 30 pour s’envoler vers la capitale de l’Equateur : Quito
Ce laps de temps nous permis de réaliser quelques parties avec un mini-ballon de rugby, de faire la course avec les portes bagages, faire les magasins, d’échanger nos premières impressions de ce périple ainsi que de choisir le lieu de notre repas très attendu par certains.
Après nous être rassasiés nous avons pu enfin prendre place pour Bonaire, 9h 40 de vol..
Chacun trouva son occupation (jeu de cartes, télévision, musique, lecture). Au bout de quelques heures l’ensemble des passagers trouva refuge dans le sommeil.
L’arrivée à Bonaire nous a permis de nous dégourdir les jambes ainsi que d’apprécier la chaleur de cette région (27 °C à 4 h du matin).
Cette première journée fut fort agréable.
L’ambiance, la solidarité, et la bonne humeur sont les mots clés me permettant de résumer l’ambiance générale du groupe malgré quelques signes de fatigue faisant surface.
Il nous tarde déjà de découvrir notre pays d’accueil..
Petite pensée à toute ma famille, mes potes et ma chérie..
Damien B.
Lundi 25
Suite : le périple aérien se termine après escale à Guayaquil pour enfin arriver à Quito !!! à 15 h française et donc 9 h du matin locale.
Le soleil est au rendez-vous, il fait 25° à notre arrivée. 2 minibus nous attendent pour traverser la ville et nous déposons nos affaires à l’hôtel LAS CANARIAS à côté de la place « del Sucre » pour ceux qui connaissent, la plaza de l’ancien théâtre au cœur de Quito.
Après s’être changés et rafraîchis, pas de temps à perdre, on remonte dans le minibus direction Pululahua (traduction en Quechua : « Le sorcier qui cause beaucoup de souffrance ») : un des plus grand volcan de la région. Sur la route, approvisionnement en eau pour remplir nos gourdes. L’air est bon et le groupe souriant. Arrivé au volcan, le brouillard nous accueille et nous ne voyons pas à 15 m. Consolation : une carte postale nous permet de nous imaginer le cratère et ses habitants atypiques ( initiation à un instrument local).
Déjà repartis nous cherchons de quoi nous restaurer, par chance nous trouvons des Empanadas, galettes de maïs fourrées de poulet ou bœuf cuisinés avec des oignons et des épices. Ensuite comme tout bon touriste à Quito, passage obligatoire à « la mitad del mundo ». En redescendant le soleil est de retour. Maisons traditionnelles ( faites de torchis, canne à sucre et bois locaux), mélangé avec la tradition des Chouars ( tête réduites !!), la faune tropicale ( mygales et serpents) et une guide connaissant son texte sur le bout des doigts, au final ça donne… 2 diplômes d’aptitude à faire tenir un œuf en équilibre sur un clou à la latitude 00’00’00 pour Mickael et Damien, félicitation.
Pour continuer l’après midi nous rendons visite à la vierge de Quito à « el Panecillo », un panorama magnifique sur la vallée, manque de bol l’orage arrive à grands pas (il n’a pas plu depuis 1 mois), grosse saucée et départ en trombe vers le centre ville en minibus. Rassurez vous la pluie n’a pas duré.
Pour résumer cette journée nous avons déjà presque 1000 photos (dont beaucoup de l’avion pour certains...) et quelques vidéos mémorables.
Restaurant tranquille à base de soupe de poulet, viande et légume, petite poire au sirop et l’apéro locale « el spiritu del Ecuador » pour finir cette première journée. Tout le monde rejoint sa chambre après 9h du soir (il est quand même déjà 3h du mat en France).
Petite anecdote du jour : Yohann a confondu le savon de l’hôtel avec du chocolat blanc, un croc a suffit… et notre bus chante la Lambada quand il recul.
A demain pour la suite
Romain.C (bis a toute la famille)...
Départ pour l’Ecuador !
C’est parti pour 3 semaines en Amérique du Sud, 3 semaines que l’on a longuement préparées !
Cette journée fut essentiellement consacrée au voyage (Bus et Avion).
Le vol Bordeaux-Amsterdam se déroula pour le mieux.
L’appréhension était présente chez certains d’entre nous car ce fut leur baptême de l’air.
Après un décollage assez crispant ainsi qu’un atterrissage mettant à rude épreuve les oreilles les deux heures de vol se déroulèrent dans la plus grande tranquillité à bord de cette compagnie néerlandaise avec comme surprise de la neige.
Arrivé à 16 h à l’aéroport d’Amsterdam nous nous devions d’attendre jusqu’à 23h 30 pour s’envoler vers la capitale de l’Equateur : Quito
Ce laps de temps nous permis de réaliser quelques parties avec un mini-ballon de rugby, de faire la course avec les portes bagages, faire les magasins, d’échanger nos premières impressions de ce périple ainsi que de choisir le lieu de notre repas très attendu par certains.
Après nous être rassasiés nous avons pu enfin prendre place pour Bonaire, 9h 40 de vol..
Chacun trouva son occupation (jeu de cartes, télévision, musique, lecture). Au bout de quelques heures l’ensemble des passagers trouva refuge dans le sommeil.
L’arrivée à Bonaire nous a permis de nous dégourdir les jambes ainsi que d’apprécier la chaleur de cette région (27 °C à 4 h du matin).
Cette première journée fut fort agréable.
L’ambiance, la solidarité, et la bonne humeur sont les mots clés me permettant de résumer l’ambiance générale du groupe malgré quelques signes de fatigue faisant surface.
Il nous tarde déjà de découvrir notre pays d’accueil..
Petite pensée à toute ma famille, mes potes et ma chérie..
Damien B.
Lundi 25
Suite : le périple aérien se termine après escale à Guayaquil pour enfin arriver à Quito !!! à 15 h française et donc 9 h du matin locale.
Le soleil est au rendez-vous, il fait 25° à notre arrivée. 2 minibus nous attendent pour traverser la ville et nous déposons nos affaires à l’hôtel LAS CANARIAS à côté de la place « del Sucre » pour ceux qui connaissent, la plaza de l’ancien théâtre au cœur de Quito.
Après s’être changés et rafraîchis, pas de temps à perdre, on remonte dans le minibus direction Pululahua (traduction en Quechua : « Le sorcier qui cause beaucoup de souffrance ») : un des plus grand volcan de la région. Sur la route, approvisionnement en eau pour remplir nos gourdes. L’air est bon et le groupe souriant. Arrivé au volcan, le brouillard nous accueille et nous ne voyons pas à 15 m. Consolation : une carte postale nous permet de nous imaginer le cratère et ses habitants atypiques ( initiation à un instrument local).
Déjà repartis nous cherchons de quoi nous restaurer, par chance nous trouvons des Empanadas, galettes de maïs fourrées de poulet ou bœuf cuisinés avec des oignons et des épices. Ensuite comme tout bon touriste à Quito, passage obligatoire à « la mitad del mundo ». En redescendant le soleil est de retour. Maisons traditionnelles ( faites de torchis, canne à sucre et bois locaux), mélangé avec la tradition des Chouars ( tête réduites !!), la faune tropicale ( mygales et serpents) et une guide connaissant son texte sur le bout des doigts, au final ça donne… 2 diplômes d’aptitude à faire tenir un œuf en équilibre sur un clou à la latitude 00’00’00 pour Mickael et Damien, félicitation.
Pour continuer l’après midi nous rendons visite à la vierge de Quito à « el Panecillo », un panorama magnifique sur la vallée, manque de bol l’orage arrive à grands pas (il n’a pas plu depuis 1 mois), grosse saucée et départ en trombe vers le centre ville en minibus. Rassurez vous la pluie n’a pas duré.
Pour résumer cette journée nous avons déjà presque 1000 photos (dont beaucoup de l’avion pour certains...) et quelques vidéos mémorables.
Restaurant tranquille à base de soupe de poulet, viande et légume, petite poire au sirop et l’apéro locale « el spiritu del Ecuador » pour finir cette première journée. Tout le monde rejoint sa chambre après 9h du soir (il est quand même déjà 3h du mat en France).
Petite anecdote du jour : Yohann a confondu le savon de l’hôtel avec du chocolat blanc, un croc a suffit… et notre bus chante la Lambada quand il recul.
A demain pour la suite
Romain.C (bis a toute la famille)...
Lundi 25 janvier : bien arrivés à Quito !!
Après 25h de voyage à travers la Hollande, l'Atlantique, les Antilles... après un coup d'œil à l'océan Pacifique, Carolina nous rassure : le groupe est bien arrivé aujourd'hui à Quito.
Programme du jour : Repos à l'Hostal Canarias et acclimatation à l'altitude, petite balade dans Quito...
A très bientôt sur le blog !
Derniers préparatifs avant le départ
Dans le froid du hall hydraulique ...
On remplit les sacs, on emballe les objets ...
On essaie le paquetage, on procède aux dernières vérifications ...
Ultime réunion
PS : Merci à Fabrice M. pour le café, les chocolats, les photos ... et tout le reste !
Toilettes sèches : Récapitulatif avant départ
Sur le départ, tout le monde est impatient et pourtant il me semble nécessaire de faire un petit récapitulatif des avancées en ce qui concerne nos toilettes sèches.
Notre sensibilisation est fin prête, avec tout nos arguments pour promouvoir les toilettes : l'indépendance de l'alimentation en eau, la construction à moindre coût avec les matériaux se trouvant sur place, la diminution de la pollution et la possibilité d'avoir du fertilisant pour les terres agricoles grâce à l'assèchement des matières fécales. Et vous, vous êtes convaincus ?! Pour appuyer notre argumentation, j'ai réalisé une petite maquette de nos toilettes. Nos intentions sont avant tout de pouvoir permettre l'installation des toilettes durant le Carnaval qui se déroulera après notre départ d'Equateur malheureusement. Nous aimerions l'aide des habitants du village pour réaliser la structure extérieure en cannes à sucre...Voilà un mois que nous passons nos jeudis après-midi à l'atelier à réaliser notre assemblage afin de savoir le temps exact nécessaire pour la construction, et d'avoir un aperçu des difficultés que l'on pourrait rencontrer. Nous allons commencer leur construction dès notre arrivée au village pour mettre en application nos heures d'entraînement.
La suite prochainement!
Emeline
Notre sensibilisation est fin prête, avec tout nos arguments pour promouvoir les toilettes : l'indépendance de l'alimentation en eau, la construction à moindre coût avec les matériaux se trouvant sur place, la diminution de la pollution et la possibilité d'avoir du fertilisant pour les terres agricoles grâce à l'assèchement des matières fécales. Et vous, vous êtes convaincus ?! Pour appuyer notre argumentation, j'ai réalisé une petite maquette de nos toilettes. Nos intentions sont avant tout de pouvoir permettre l'installation des toilettes durant le Carnaval qui se déroulera après notre départ d'Equateur malheureusement. Nous aimerions l'aide des habitants du village pour réaliser la structure extérieure en cannes à sucre...Voilà un mois que nous passons nos jeudis après-midi à l'atelier à réaliser notre assemblage afin de savoir le temps exact nécessaire pour la construction, et d'avoir un aperçu des difficultés que l'on pourrait rencontrer. Nous allons commencer leur construction dès notre arrivée au village pour mettre en application nos heures d'entraînement.
La suite prochainement!
Emeline